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Le poisson qui vivait dans les arbres (scolaire)

Sylvain Riéjou et Hervé Walbecq
Séance scolaire
Production : L'échangeur -CDCN
Château-Thierry L'échangeur - CDCN, Grande Salle

À partir de 5 ans - durée 45 min
représentation suivie d'une rencontre avec les artistes

Le chorégraphe Sylvain Riéjou vous embarque dans un périple à la recherche d’une créature mystérieuse : le poisson qui vit dans les arbres. Plongez dans cet univers où l’imaginaire n’a pas de limites !

Pour sa nouvelle création, Sylvain Riéjou s’associe au comédien et illustrateur Hervé Walbecq. Ils imaginent ensemble l’histoire d’une quête, celle de deux personnages qui partent à la recherche d’un poisson mystérieux. Des animaux apparaissent sur scène, traits noirs sur fond blanc, à travers des animations vidéo. Guidés par une faune tout droit sortie de l’imaginaire d’Hervé Walbecq, les deux héros évoluent au fil des étapes, dans cet univers à la fois farfelu et poétique. Se dessine alors un monde chimérique, où l’humain et l’animal progressent l’un vers l’autre. Un drôle de langage s’invente, explorant les relations qui nous lient à la nature par le biais du corps et de la danse.

Conception Sylvain Riéjou, Hervé Walbecq I Interprétation Hervé Walbecq, Yoann Hourcade I Regard extérieur Jeanne Lepers I Animations vidéo David Heidelberger I Création sonore, régie son et vidéo Émile Denize I Scénographie et Lumières Sylvain Riéjou, Ronan Bernard I Production et développement Marion Valentine, Garance Bourgneuf, Charles-Éric Besnier – Bora Bora productions

Sylvain Riéjou

Après l’obtention de son diplôme d’Etat de psychomotricien en 2004, Sylvain Riéjou décide de devenir danseur. Il rejoint alors la compagnie COLINE puis la formation EXTENSION du CDC de Toulouse.

Depuis 2007, il est interprète pour les chorégraphes Olivia Grandville, Nathalie Pernette, Tatiana Julien, Sylvain Prunenec, Didier Théron, Aurélie Gandit, Geisha Fontaine et Pierre Cotterau. Il travaille également sous la direction de metteurs en scène et d’artistes plasticiens. 
En parallèle de son métier d’interprète, il se forme au montage vidéo en autodidacte et réalise des vidéos danse. En 2010, il participe au concours Danse élargie et sa vidéo Clip pour Ste Geneviève y est présentée de nouveau en 2012. Cette même année, il intègre en tant que chorégraphe le cursus Transforme, dirigé par Myriam Gourfink, à l’abbaye de Royaumont. En 2015, il signe la chorégraphie de la pièce UBU, mise en scène par Olivier Martin Salvant. Entre 2013 et 2016, il est en résidence de recherche au Théâtre de L’L à Bruxelles. Durant cette période, il explore des chemins chorégraphiques lui permettant de faire basculer son corps de l’espace réel du plateau vers l’espace virtuel de la vidéo, et inversement.

En 2017, il crée son premier solo : Mieux vaut partir d’un cliché que d’y arriver. Dans ce one man show vidéo chorégraphique, il donne à voir la construction d’une chanson de geste. Cela lui permet de jouer avec ses « prises de tête artistiques » afin d’y injecter un peu d’humour. 
Il s’engage ensuite sur la création d’un nouveau solo : Je rentre dans le droit chemin (qui comme tu le sais n’existe pas et qui par ailleurs n’est pas droit), qui traite de la question de la nudité en danse et avec lequel il poursuit son exploration vidéo-chorégraphique de l’acte de création, en exposant sur le plateau ses questionnements intimes.